Dawn. Heather

.CARACTERE
Trop durement touchée par la vie, détruite dans le cœur, l’âme fêlée. La folie s’est emparée de moi. Dawn, oui aujourd’hui on l’appelle, « pauvre Dawn », Pauvre Dawn c’est vrai. Abandonnée, rendu folle par un amour inconditionnel. Doucement les mutilations multiples sont apparus, oui, Pauvre Dawn, La folie, douce amère, c’est un néant doucereux qui s’est offert à elle, ces tâches là ne s’en vont pas à l’eau. Elle à trouvé sa créativité dans la douleur. Des œuvres très belle mais démontrant une violente douleur incontrôlable, Dawn n’est plus Dawn, c’est le pantin de la douleur.

Pauvre Dawn, elle n’aime plus grand-chose, elle ne sourit plus vraiment, elle a toujours les yeux rougis par les larmes, elle ne se maquille plus, ne se coiffe plus. Elle est devenue maniaque, elle fais du sport, mais Dawn se tape encore la tête dans les murs, mais Dawn se mutile, Dawn est rongé par la douleur. Dawn étais belle. N’avez-vous pas remarqué qu’on ne parle que d’elle au passé. Oui, ce soir là Dawn est morte. A présent la seule chose qui lui tient a cœur, ce sont ces photos, il y en a environ une centaine sur le mur. Il y a aussi ce carnet, chaque mois elle y colle un pétale de rose noire. C’est sa façon de compter depuis combien de temps elle est devenue folle, folle de douleur.


Qualités (3 minimum) : Créative, Attentive, Douce
Défauts (3 minimum) : Agressive, Possessive, Dépressive
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HISTOIRE

« Je peux plus, j'ai trop mal, aidez-moi je ne supporte plus. Mon cœur est tel une artère coupée pleine de débris de verres. Et je saigne, je saigne encore, ne t'inquiète pas bientôt je ne serai plus là, tu ne peux déjà plus voir dans ce miroir qu'un grand corbeau noir, la colombe s'est envolée, la colombe est partie et moi je suis seule ici. Ne m'abandonne pas je t'en supplie. La colombe s'est envolée elle est partie, la colombe est envolée, je ne l'ai pas suivie, je n'ai pas pu la suivre, je n'ai pas réussi, encore gauche sur mes jambes je suis tombée tellement de fois. Les yeux saturés, pourquoi continuer maintenant que mon cœur est percé, l'esprit dans le brouillard, le brouillard dans l'infini, je ne sais plus où je suis. Je danse avec la mort, moi, grand corbeau noire je valse, j'oscille, je tombe... Et je ne me relève pas, les tableaux s'enchainent, et moi je reste là. Bordel, regarde moi, tu ne voies pas que je ne vis plus. J'veux mourir, j'veux arrêter de souffrir. La douleur m'assaille, je ne veux pas m'endormir, je ne veux pas m'en sortir, ne vois-tu donc rien ? La nuit va bientôt s'enfuir me laissant seule dans la lumière, non, toi aussi le noir ne me laisse pas. Moi grand oiseau de malheur, frêle, j'ai peur ! J'ai mal !

J'ai les lèvres au bord du monde, et le cœur au bord des lèvres, laissez moi vomir ce qu'il reste de moi, j'ai envie de chialer, dis moi pourquoi j'y crois encore. Achève moi puisque j'y crois encore, achève moi, j'y crois encore, achève moi, tu ne vois pas que mon cœur indolent n'attends que la mort, je ne me laisse pas mourir même jusqu'à ma mort, achève moi je t'en prie. Et je tourne, tourne, moi grand oiseau noir, et je tombe, tombe dans le noir. Je pleure et tu ne m'entends pas. Je suis là et tu ne me voie pas. Je ne suis plus que l'ombre de moi-même, dans le miroir ne se reflète qu'un ombre oiseau noir. Et la nuit doucement s'en va, me laissant seule avec ces démons en moi.
Laissez-moi tomber encore un peu plus bas. Je suis las de ce monde, alors je m'engouffre un peu plus dans le mien, en silence et je ne reviendrais jamais, je crois.

Je me souviens encore, je ne pense plus qu'à ça... Je me souviens de cette lumière dorée qui baignait le paysage a l'aurore, il y à 4 ans et 338 jours. Je me souviens encore de sa grande robe noire étendue sur le sol, de ses crins toujours en masse à volés dans le vent, je me souviens encore de ses paturons épais souvent couvert de boue, et de son poitrail imposant, ses flancs qui se soulevaient irrègulièrement lorsqu'il avait joué dans le vent. Ce matin là, ce 16juillet là, je me souviens de sa longiligne silhouette noire étendue dans l'herbe haute, de ses flancs qui était immobile, et je me souviens de se massacre, du sang, en masse partout. Darshan, étalon majestueux a présent egorgé, bafoué. Darshan, n'etait dés à prèsent plus que passé. Mon passé... Ma vie resterait dés à présent dans le passé, j'étais passé.

Le temps passe et la douleur toujours présente, depuis quelques mois j'ai pris sous mon aile un autre équidé, la moitié de ce qu'il me reste, son nom? Tryptik, sa race ? Portuguais Jeune étalon encore en apprentissage désagréable avec les inconnus, agressifs et un peu fou, il est à présent comme moi.»
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COTE EQUIN

.VOTRE NIVEAU: Galop 9
.VOTRE DISCIPLINE PREFEREE Dressage
.VOTRE DISCIPLINE LA MOINS AIMEE Saut