Un jour on gagne un jour on perd Mais je n'ai pas perdu la guerre On ne pourra jamais m'abattre Mon cœur n'a pas cessé de battre Ne jugez pas vous qui ne me connaissez pas Je suis libre et sans loi Jamais je le sais Jamais je n'abandonnerais non Je suis comme la rivière Je suis fier et libre comme l'air Et seul maître de mes frontières Jamais je le sais Jamais je n'abandonnerais non Je défendrais ma vie !
Un grand étalon noir comme la nuit traversa la petite plaine d’herbes hautes. Le doux bruit de la rivière l’avait interpellé. Il s’y précipitait au grand galop. Sa longue crinière nuit fouettait l’air dans un geste de vague. Les mouvements du grand mâle était gracieux et surtout trahissait sa puissance, son galop était silencieux mais imposant.
Très vite il s’arrêta net face a l’eau qui bouillonnait devant lui. Il s’y abreuva quelques instants. Un peu de sueur était collé sur sa robe de jais, laissant paraitre quelques taches mouillé. Il fessait rudement chaud aujourd’hui et galopé par cette chaleur n’étais pas forcément une bonne idée. Il s’ébroua pour chasser quelques parasites … a quel calvaire c’est mouches, toujours en train de vous collé … agacer par c’est point volants,
il se plongea dans l’eau glacer. Brr elle est bien froide semblait dire son visage si peu expressif… mis a part un regard ténébreux et profond son faciès ne traduisait que très peu de chose.