J'aime m'amuser (L I B R E )

Ca fais un moment que je suis dans cette boite a voyager je commence en avoir marre moi ! C'est aussi petit que ma stalle quand on me prépare ! J'en peut plus à la fin. Je me mit donc taper dans le mur qui se trouve derrière moi, a travers la petite fenêtre je pouvais voir l'humain qui me crier d'arrêter et hurler mon nom : Crazy espèce de fou ! Putin il porte bien son nom celui là ! Attend t'aimerais être a ma place ? Pff...C'est quand qu'on arrive ?Je continuais de taper rien que pour embêter l'autre, il aillait se tuer la voix avant la fin ahaha bien fais pour lui. J'ai plus de foin en plus c'est vraiment la misère ! J'ai soif aussi j'ai pas eut d'eau depuis le début, j'aurai du boire avant de partir si j'avais sût. J'aurai même du faire l'idiot au lieu de monter tranquillement, je pensais que c'était plus fun que ça... Tiens on bouge plus, on est arriver ? Je jeta un coup d'oeil à la fenêtre et je vit l'autre sortir. Ahhh on est arriver ! Le pont mis en place, je piaffer d'impatience de me dégourdir les membres et faire mon pitre surtout ! J'entendis l'humain, il parlais avec un autre : Tenez et je vous souhaite bien du plaisir avec celui la ! -Pourquoi donc ? - C'est un cas d'après la d'où il vient, voici ses papiers : Crazy Du Perz, Andalou noir entier de 3ans, il est monter mais bon méfiez vous quand même ! Sur ce ceux je vous laisse le prendre et bonne journée a vous !
Pff ça y je deviens le cas social alalala ces humains. Je vit l'autre bipède que j'avais jamais vu et me fit descendre de la boite. Enfin descendre... Je sauta carrément et voulut m'élancer loin tellement que j'avais envie de me dégourdir les pattes ! L'humain me lâcha pas, dommage mais il tira un coup sec sur la longe et me cria : Ooooh calme toi ! Si je veux d'abord ! Il me dirigea vers la prairie et ma lâcha dans un paddock en me donnant une claque à la croupe. Non mais oh il se prend pour qui, je parti en coup de cul sur le coup de la suprise et fit un pile demi tour en le chargeant, les dents en avant. Heureusement pour lui il avais refermer la barrière ! Je cabra devant lui en agitant mes antérieurs, ahah il a peur il recula pff ses humains sont tellement marrant ! Je fit demi tour est parti au trot à la recherche d'un point d'eau, que je trouva. Une fois le gosier rassasié je me mit a mâcher la bonne herbe tendre qui y avait dans le pré.

( si tu veux pas de moi j'éditerais ^^ )

J'étais dans la prairie en train de brouter tranquillement, profitant d'avoir cet espace gigantesque rien que pour moi. Jusqu'alors j'étais resté dans le fond de la prairie, quand j'entendis des sons provenant de l'entrée. Je partie dans un petit galop tout tranquille forçant l'allure pour m'amuser. Ma crinière noire volant en bataille, et ma robe grise pleine de poussière, y a pas à dire la vie dans la prairie c'est que du bonheur. Mais bon les humains faisaient tellement de bruit qu'il troublait ma douce tranquillité. J'étais enfin arriver au milieu de la prairie, je fis quelques pas au trot et stoppa net, je coucha mes oreilles. Les hommes étaient en train d'hurler après je ne sais trop quoi, mais il y avait le même genre de camion qui m'avait emmené jusqu'ici, enfin pas ici dans la prairie, mais dans un tout petit enclos où la seule chose que l'on puisse faire c'est tourner en rond. En plus de l'odeur infecte des hommes je percevais celle d'un autre étalon, je leva mon antérieur et le laissa retomber avec force sur le sol, faisant s'élever des nuages de poussières. Apparement, les humains comptaient mettre l'intru dans la prairie, et en plus un étalon, non mais, j'étais là le premier, et ce n'était pas ce fou qui ferait la loi ici. De plus je sentais à son odeur que c'était encore un jeune, bientôt je le vis apparaître, tournant alors légèrement ma tête pour l'avoir dans mon champ de vision. il était aussi noir que la nuit, et avait une crinière ondulé, nous étions en totale opposition. L'un des homme ouvrit la barrière et fit entrer l'étalon noir, il le retenait, alors que le noir ne cherchait qu'à partir au galop. Je resta bien immobile, ne voulant pas m'approcher des humains, ceux là ne me disait rien, de toute manière hors mis Célia, ils étaient pour moi l'équivalent de brute épaisse et donc une menace.

Je vis le jeune étalon faire peur à l'homme, lorsqu'il se cabra, l'humain recula, le noir menaçait l'homme. Je regardais le spectacle, en l'appréciant. Les humains étaient tous de même idiots pour certains, enfin passons. J'observa le jeune étalon partir au trot, il était sans doute à la recherche d'un point d'eau pour boire après le voyage qu'il avait fait. Je m'élança au galop et décrivit un grand cercle avant de faire volte face, et partir à vive allure vers le jeune étalon noir. Il était vrai que j'aimais passé du temps dans la prairie, tranquille. Mais avec un copain c'est tellement plus amusant.

Je ne quittais pas le petit nouveau des yeux, il n'aimait pas les hommes, cela nous donnait un point commun. En revanche qu'il touche à Célia, et je lui donnerais ma façon de voir la chose. Mais pourquoi ne pas devenir ami, avec ce jeune étalon à la robe noire, après tous, la compagnie vaut mieux que la solitude. L'étalon inconnu se présenta, il se nommait alors Crazy, bien sur ce nom reflettait bien ce que j'avais put en voir. Seulement, malgré toute la hargne qu'il avait contre les humains, pour lui cela ressemblait à un jeu, afin de passer le temps, mais pour moi c'était un esprit de survie. Je m'ébroua faisant danser mes crins raides et d'un noir ébène, je ne quittais pas Crazy de mon regard sombre, puis je me présenta enfin:

- Mon nom est SilverWing. Je suis là depuis quelques temps déjà, on m'a acheté ... Comme toi j'imagine.

Je me décala et me mit à brouter aux côtés de Crazy, il n'avait rien d'hostile envers moi alors je lui donnais sa chance. Comme lui m'en donnait une. J'écoutais alors le calme, seul quelques oiseaux venaient gazouiller non loin de là. Je redressa ma tête large et pointa mes oreilles en avant vers la grande plaine au delà des montagnes. Puis je tenta un regard au jeune étalon noir.

- Tu sais ce qui se cache au delà des montagnes ?

Dans mon cas, ce qu'il y avait au delà des montagnes me faisait envie, mais j'ignorais ce qui pouvait m'attendre dérrière, peut être une contrée remplit d'homme. Non impossible, un jour les hennissement de cehvaux avait retentit dans la montagne. Pour moi qui n'avait connue que la "prison" des humains, moi qui avait grandie loin de la liberté, je la découvrais dans cette prairie et cela me suffisait. De plus, ma nouvelle propriétaire ne cerchait en rien à me brusquer, elle y allait avec douceur, comme avec cet homme qui parlait le langage du cheval.

L'étalon noir écoutait tout en arrachant l'herbe, je continuais d'observer les montagnes, et je me remit à paître. Le jeune équidé m'expliqua qu'il avait fait plusieurs endroits, et qu'il ne savait pas s'il allait rester longtemps par ici. Je l'écoutais avec attention, a vrai dire moi aussi j'avais vu défilé pas mal de monde devant mes yeux, j'avais changer d'écuries si souvent que je n'arrivcait pas à replacer une personne en particulier dans l'une de mes anciennes écuries. On m'avait traité comme une chose, et encore une chose aurait été mieux traité par endroit. Pourtant, dans cette nouvelle maison, j'aimais bien tous, alors qu'autrefois je detestait vivre dans les ranchs. Et depuis bien longtemps j'avais la compagnie d'un autre équidé, dans un espace mille fois plus grand que ce que j'avais connue jusque là. Je planta mon grand regard sombre sur l'étalon andalou, et lui dit:

- J'espère que tu vas rester, car avec toi, je suis certain d'avoir un compagnon.

Si on me laissait choisir, je resterais ici, avec tous les équidés qui viendraient dans la prairie. Nous avions un point commun lui et moi, on n'avait été trimballé de ranch en ranch, et je detestait la grande boite de métal qui roule, qui n'est pas confortable et qui secoue dans tous les sens. En plus j'ai voyagé pendant des heures non stop. Bref je préférais lorsque mes pieds étaient en contact avec le sol de la terre. Crazy me répondit avec hésitation que dérrière les montagnes il y avait sans doute des "gros nounours". J'aurais aimé entendre une réponse un peu plus raisonnable, mais après tous, peut être était ce vrai. Je me remit à brouter en méditant les paroles, j'entendais également du bruit près des grands bâtiments. Mais cela ne m'inquiétait pas plus que cela. Je regardais le jeune étalon qui continuait de brouter.

- Peut-être la liberté ...

Silver avait l'air de bien vouloir être mon ami, avec ce qu'il vient de me déclarer je doute plus. Je souffla gentiment comme pour le remercier de sa confidence. J'avoue avoir un ami ça fais pas de mal, loin de là... Mais bon je sais pas faut-il vraiment s'attacher au autres ? Je change tellement fois de d'endroits à cause de mon caractère de cochon qui plait pas vraiment aux bipèdes. Vais tâcher de faire un effort... Silver avait l'air vraiment sympatique comme amis. Il réflichissait à la réponse que je venais de lui fournir suite à la question qu'il m'avait posé au sujet de se qui se cacher derrière les montagnes, j'avais dit nounours pour les ours des montagnes. J'ai connu un cheval qui s'était sauvé d'une écurie où j'étais de passage, il est revenu avec de grosses blésures, un ours qu'il a dit. Il en est resté traumatisé, le pauvre... Silver répondit la liberté... Pour moi être libre s'était la être dans ce paddock, y a pas d'hommes pendant un moment ta de la liberté. Mais je compris ce qu'il voulais dire : pas d'homme tous court, pas de barrières, pas de mors et de selle, être libre tous simplement. Je répondit :

Je sais pas si je mit frais moi a cette grand liberté, j'ai beau détesté les hommes mais j'aime mon petit confort...

J'avais un peu les fourmis dans les sabots, je lui proposa donc a Silver si il voulais faire la course avec moi, :

Le premier au bout de la barrière qui gagne ?

Je fit un petit cabré et m'élance comme une balle, je me retourna juste pour voir si il relevé le petit défi...

Le jeune étalon noir souffla gentiement pour me remercier de la confidence que je lui avait faites. Cela faisait de nous des amis enfin plus ou moins, sans doute, si sa se trouve dés demain nous nous ne reverrons plus. D'ailleurs dans mon cas, Crazy est le premier cheval que je rencontre dans une prairie, comme j'avais disons "mauvais caractère" pour me punir mes ancien propriétaire me laissait au box, je crois bien, et j'en suis même certain, je n'ai jamais vu de prairie depuis longtemps, la première avec ma mère, mais je fut rapidement vendue, alors je n'ai pas put en profiter. Dans les autres ranches, c'était un tour de cours et retour au box, ennuyeux et pas agréable comme vie. Mes seuls copains, étaient mes voisins de boxs, mais comme je changeais souvent d'endroits j'ai pas vraiment eu le temps de les connaitre, sauf un. Mais le pauvre est vite partie, enfin tout cela pour dire que Crazy est mon premier copain de prairie. Lorsque je lui dit que au-delà de la barrière et derrière la montagne se trouvait sans doute la liberté, l'andalou me répondit qu'il ne savait pas s'il s'y ferait à cette grande liberté, il enchaina sur le fait qu'il avait beau détester les hommes, il aimait le confort qu'ils offraient. Je ne répondis pas tous de suite, il était vrai que les hommes offraient une sécurité, enfin à partir de l'instant où il ne frappait pas. De toute manière je n'ai pas connu la vie sauvage, mais certain me l'on conté, et le récit change selon celui qui la vie et celui qui l'entend. Je posa une nouvelle fois mon regard sur mon ami:

- Tout comme toi je préfère vivre libre dans cette prairie avec un peu de confort et l'assurance d'être nourrie, que derrière la montagne, dans le total inconnu.

Crazy commençait à se raidir, alors il proposa une petite course jusqu'à la barrière. L'étalon se cabra et partie au galop regardant en arrière si j'avais suivie. Dés qu'il eu finie sa phrase j'avais été prêt à m'élancer, en revanche moi je ne me cabra pas, je préfèrait m'élancer en me propulsant sur mes postérieurs musclé. Je partis ainsi telle une torpille, j'étais sur les talons de mon camarade. je ne put alors m'empêcher de lancer une ruade de plaisir, faire la course à deux c'est cent fois mieux que galoper seul. Je me rapprocha à grande vitesse du jeune étalon à la robe noire, je me plaça de manière à être flanc contre flanc.

( pardon pardon du retard )

Je poursuivais mon nouvel ami, qui avait gagné de l'avance, de plus il allongeait sa foulée. J'en fit de même, ma race était taillé pour être rapide sur une distance bien définie, mais je n'aimais pas perdre, je continuais d'allonger sans cesse ma foulée. Je sentais le vent me fouetter le chanfrein, mes crins flottant dans le vent. Cette liberté de pouvoir galoper sans s'arrêter, j'imaginais ce que pouvais ressentir, les chevaux sauvages lorsqu'ils galopaient ainsi sans aucunes barrières pour les ralentirs. La fameuse barrière, privant ainsi de l'espace de la liberté arriva bien vite et me ramena dans la réalité. Crazy, sans doute emporté par sa jeunesse et sa fougue ne ralentit pas à l'approche de la cloture, il la franchit d'un bond souple et se réceptionna en douceur de l'autre côté. Moi même, j'aurais put la franchir, la limite était bien fine entre le monde sauvage et celui domestique. Je ne ralentit pas mon allure mais tourna au dernier moment pour éviter de me prendre la cloture. Je revint en décrivant un large cercle et ralentit ma foulée pour m'arrêter, le poitrail coller à la barrière de bois.

Crazy revint et franchit la barrière dans le sens inverse pour revenir dans la prairie. Je m'écarta de la cloture et me rapprocha de lui, tout en observant les immenses montagnes recouvertes de sapin verdoyants. L'étalon à la robe noire me dit alors que cet inconnu était attirant, voulant connaitre l'entière liberté. Je posa mon sombre regard sur mon ami et répondit avec calme:

- Oui, la première fois que j'ai vu ce monde cela m'a attiré, mais il faut se dire qu'on nait sauvage. On ne sait même pas quel danger il peut y avoir, si sa se trouve l'enfer est derrière la montagne, il y a peut-être pire qe les humains ...