Une première a tout ( pv Célia)

Le soleil tapais, il étais fort. Il reflétais sur la robe grise
cendré de Tornade. Le cheval courrais dans un champs
en prenant du plaisir. On pouvais entendre son souffle
sortir de ses poumon. Le cheval s'arrêta pour brouter
un petit peu d'herbe. Il leva la tête pour vois si il n'y a
pas de danger et la rebaissa. L'étalon plaqua ses oreille
sur son crâne et commença a manger l'herbe. On pouvais
l'entendre arracher l'herbe brusquement. Le cheval fouetta
sa queue nerveusement dans l'air, puis tapa du pied. Relevant
la tête brusquement, le cheval entendis un bruit et se mis a
courir. Autour de lui il vit les arbre défiler. Il étais au moins
au tripe galop, et on pouvais entendre ses sabot s'abattre
sur le sol.


Le cheval s'arrêta sur un chemin au milieu d'une forêt. Il regardais
attentivement se qui se passais. Il n'y avais rien, juste des oiseau
et des écureuil sur les arbre. Le cheval redressa les oreille. Il avança
sur le chemin boueux. Il pouvais y avoir ses traces. La crinière au vent,
Tornade se mis a courir, il sauta agilement au dessus d'une branche
d'arbre sur le chemin. Et atterris par terre comme pour rire. Il retomba
sur le même chemin. Puis, il entendis un bruit dans les buissons, il se
tourna et regarda attentivement. Il laissa apparaitre un hennissement
( les chevaux sa hennis ? )

[Attention à la présentation de ton texte]

Au delà des chemins, personne ne savait quoi y trouvait. Il était temps que quelqu'un le découvre. Après un moment passé avec sa nouvelle monture, Célia avait besoin de respirer, rien contre son cheval mais elle appréciait marché sur des terres inconnu pour y découvrir ses secrets. Alors, la jeune femme s'était muni de ses boots pour être sur de ne pas avoir mal au pied et de son chapeau pour ne pas avoir le soleil qui lui tape sur la tête durant toute sa balade. Elle se prépara un sac à dos, avec un sandwich car rien de mieux que de pouvoir profiter de moment magique avec des terres inconnus. Un appareil photo jetable, plusieurs bouteilles d'eau, 2-3 pommes et quelques carottes. Au cas ou elle rencontrerait un cheval sauvage, histoire qu'elle ne se fasse démonter. Une fois qu'elle fit l'inventaire de son sac à dos, elle se mit alors à marcher. Passant dans la cour du Ranch, elle prit ensuite un chemin inconnu. Un petit sentier qui ne semblait pas être entretenu, car au milieu du chemin, Célia y découvrit des branches d'arbres coupant la route, mais aucun souci, la jeune femme avait deux solutions pour contourner ce problème soit passer par dessus ou le contourner. Et comme c'était plus rapide de passer par dessus, c'est ce qu'elle fit. Elle continuait à marcher sur ce chemin bordé de plusieurs sortes d'arbustes. Elle s'arrêtait presque pour observer délicatement chaque arbustes.

Mais elle accéléra le pas et quelques longs mètres plus loin, elle trouva un endroit sympa pour se poser. Sachant qu'elle était maintenant à 3/4 d'heures du ranch, et oui elle avait marcher. Une fois assise adossé contre un arbre, à l'abri de prédateur, car les arbustes la cacher. Elle pu déguster son repas, en toute tranquillité, enfin c'est ce qu'elle pensait mais pas ce qu'elle allait faire. Car lorsqu'elle prit une bouchée de son sandwich, de nombreux pas se firent entendre à travers la forêt. La jeune femme était au aguets, elle n'avait pas les oreilles aussi sensible qu'un cheval mais elle entendait maintenant très clairement des bruits de sabots venant rapidement en sa direction. C'était dans ses moments là, qu'elle voyait que son idée n'était pas si bonne. Devait elle faire sa prière ? Elle ne bougeait plus presque tétanisé, mais un hennissement la fit bondir et elle fit bouger légèrement un arbuste. Outch !! Mais entre deux branches, elle pu découvrir la source, face à elle, un équidé puissant mais surtout à l'instinct sauvage. Elle ravala sa salive, elle pouvait maintenant faire sa prière. Mais elle ne devait pas réagir en ayant peur, elle reprit ses esprits, mais pour être à nouveau sur qu'un équidé l'avait repéré, elle poussa deux trois branches, ou elle pu le voir très clairement. Il était toujours là, elle rangea son sandwich qu'elle avait entamé, et sortit une pomme et une carotte. Elle ne voulait pas l'amadouer, elle ne souhaitait pas mourir.

- Doucement

Ce fut le seul mot qu'elle pu laisser échapper. Mais elle ne se laissa pas impressionner, mais en même temps, elle ne la ramenait pas et elle n'avait jamais vu un cheval sauvage d'aussi près.